Boîte à idées

Communication information droit et devoir pour accès et maintient en logement sociaux

Dans votre questionnaire précédent vous parler beaucoup de développer des services,

Oui, pourquoi pas, si c’est utile, civil et dans le respect du collectif, mais quels services, avec quels coûts et quels financements ?

Déjà, une communication accessible, claire et transparente entre bailleurs et tous les  locataires pour un bien et mieux vivre ensemble me parait un débat intéressant.

Avoir une communication claire et accessible sur les sites des bailleurs sociaux sur les conditions d’accès, les droits et les devoirs mutuels et les conditions d’usage dans le temps des biens sociaux, quelles pérennités d’usage pour des familles installées qui évoluent, puis involuent sur du moyen ou  long termes en taille, comme économiquement. Changements de situations, parcours familiaux et professionnels, impactant ponctuellement ou progressivement et modifiant les caractéristiques des ménages d’un point de vue des bailleurs sociaux.

Quelle stabilité physique géographique et psychologique pour des occupants quant à leur maintient des conditions d’octroi d’utilisation du logement  social, pour des familles installées dans un quartier, familles souvent vieillissantes, moins adaptables, qui se retrouvent soudainement en situation de surloyer au départ d’un ou de plusieurs enfants.

De plus les enquêtes de SLS créent de l’inquiétude, débouchent dans certaines situation à des augmentation brutales et importantes des loyers. Cela impact la réorganisation du budget des ménages au quotidien, mais aussi secondairement cela inquiète du fait d’une catégorisation dans laquelle il n’y a aucune information claire et existante sur la sécurité du maintient du droit au logement dans le temps dans cette nouvelle catégorisation.

Merci d’une explication claire sur les tenants et les aboutissants de cette nouvelle gestion financière des locataires, comme de préciser si cette politique SLS peut impacter l’installation des familles concernées dans le temps, et si elles ont à s’inquiéter d’une précarité au maintient de leur droit à l’occupation de leur logement et si oui dans quel cadre ?

Bien cordialement.