Il faudrait que la mobilité soit facilitée à partir du moment où l’on occupe déjà un logement RIVP, dans un sens ou un autre. Et que les loyers soient évalués en conséquence. Ce n’est pas évident pour un locataire qui occupe un grand appartement depuis 20 ans de déménager dans un appartement plus petit une fois les enfants partis, mais avec un loyer quasi équivalent, et souvent les locataires renoncent, alors que des familles avec de jeunes enfants ont besoin d’un appartement plus grand.